Longtemps cantonné aux fashion weeks, le jumpsuit blanc file aujourd’hui droit vers la mairie et bouscule le monopole de la robe. Les recherches Google explosent, les créateurs déroulent des coupes palazzo ou bustier et près d’une mariée civile sur trois ose déjà le pantalon pour dire oui. Tour d’horizon d’une révolution chic, des chiffres clés aux secrets de fitting, pour savoir si la combinaison fera votre entrée la plus remarquée de l’année.
Pourquoi choisir la combinaison femme mariage chic ?
Tendance mariage : chiffres clés et boom des recherches
La requête « combinaison femme mariage » a triplé en cinq ans sur Google France, selon les données Trends reprises par plusieurs sites spécialisés. Cette poussée ne se contente pas de l’effet mode : elle traduit un vrai changement d’usage. Dernière enquête Mariages.net : 32 % des mariées civiles françaises optent désormais pour un pantalon ou une combinaison. Les recherches annexes qui progressent le plus vite : « combinaison mariage civil », « combinaison satin », « combinaison taille plus mariage », autant d’indices d’un marché qui se diversifie. Côté portefeuille, les distributeurs couvrent un large spectre : 89 € en fast fashion, jusqu’à 540 € chez les créateurs français référencés, preuve que le segment attire autant la future mariée budget que la modeuse premium.
Confort, liberté de mouvement et confiance en soi
Danser, courir embrasser la tante venue de loin, grimper les marches de la mairie : la combinaison coche toutes les cases pratiques qu’une robe bride parfois. Le buste reste maintenu, la jambe gagne en aisance grâce aux coupes palazzo, et les matières vedettes, crêpe lourd ou satin duchesse, évitent les plis disgracieux. Aucune traîne à porter, les mains restent libres, la silhouette reste nette du matin au dernier slow. La coupe pantalon libère la posture : beaucoup de mariées témoignent se tenir plus droites, assumer un port d’épaules affirmé, gagner en assurance face à l’objectif comme devant les invités.
Alternative moderne à la robe de mariée traditionnelle
S’affranchir du tutu sans sacrifier le cérémoniel : voilà la promesse de la combinaison chic. Elle conjugue lignes architecturales et détails couture : dos nu spectaculaire, manches ballon ou taille corsetée, autant d’options qui dialoguent avec les codes hérités de la robe tout en les dépoussiérant. Cette tenue unique répond aussi aux attentes de polyvalence : elle se porte en total look blanc pour le civil, puis se twiste avec des accessoires couleur pour le dîner. Plus qu’un simple choix vestimentaire, la combinaison devient un manifeste : celui d’une femme qui célèbre son union sans renoncer à sa personnalité contemporaine.
Combinaison mariage civil ou religieux : codes à respecter
Mariée civil en blanc ou ivoire : règles et astuces
À la mairie, la combinaison mariage civil en blanc ou ivoire offre une allure moderne sans bousculer les usages. On reste sur des teintes très claires, unies, qui rappellent la robe traditionnelle tout en soulignant le côté urbain du pantalon. Les matières plébiscitées : crêpe lourd pour la structure, satin duchesse pour la lumière, dentelle guipure sur le dos ou les manches pour le clin d’œil romantique. Attention à la transparence : doublure intégrale obligatoire sous flash photo. Longueur recommandée : jambe qui effleure le cou-de-pied avec talons moyens, ourlet prévu la veille chez le retoucheur.
Quelques astuces pour signer le look :
- Accessoires minimalistes : escarpins pointus nude, bijou cheveux perlé, pas de voile cathédrale.
- Cintrer la taille avec une ceinture satin ton sur ton pour garder la silhouette épurée.
- Plan B météo : blazer blanc à épaules travaillées ou trench fluide assorti au pantalon.
- Pratique : fermeture invisible sur le côté et bouton pression à l’entrejambe, détail qui évite le marathon aux toilettes.
Invitée mariage : couleurs permises sans voler la vedette
Une invitée peut oser la combinaison femme mariage dès lors qu’elle respecte la palette fixée par les futurs mariés et qu’elle évite le blanc franc, l’ivoire et le crème. Les podiums et les données ASOS placent en tête le vert sauge, le rose poudré et le terracotta : ces teintes photographient bien, flattent la plupart des carnations et laissent la mariée au centre de l’image. Les imprimés floraux discrets ou les rayures ton sur ton sont tolérés lors d’un mariage champêtre, mais on bannit les sequins all over en journée.
Repères rapides :
- Palette autorisée : pastels, tons terre, bleu nuit, bordeaux léger pour l’automne.
- Couleurs à risque : rouge vif ou noir total sauf dress code explicite, blanc et dérivés.
- Équilibre : si la combinaison est monochrome forte, choisir accessoires neutres. À l’inverse, si la couleur est douce, on peut se permettre un sac bijou ou des boucles statement.
- Photos de groupe : préférer une jambe palazzo fluide aux fentes hautes qui distraient le regard.
Cérémonie religieuse : décence et détails à prévoir
À l’église ou à la synagogue, la coupe d’une combinaison mariage se doit d’être plus sagesse que tapis rouge. Épaules couvertes, décolleté modéré, dos nu masqué par un châle léger durant l’office. Les manches trois-quarts en dentelle ou un boléro satin règlent la question sans sacrifier le style. La jambe large convient si le tissu n’est pas trop brillant ; le satin duchesse gagne à être doublé d’un crêpe plus mat pour éviter les reflets sous les vitraux.
Checklist avant de franchir le porche :
- Prévoir une étole ou une cape fine qui se retire pour le cocktail.
- Opter pour des talons silencieux, talon bloc gainé cuir ou sandale bride fine.
- Éviter les bijoux clinquants qui résonnent, préférer perles ou pierres fines.
- Glisser un mouchoir et la pochette dans le sac plutôt qu’à la main, on reste disponible pour les salutations.
Choisir sa combinaison mariage selon morphologie
Petite stature : coupes qui allongent la silhouette
Une combinaison femme mariage réussie sur moins d’1,65 m repose d’abord sur la ligne verticale. Misez sur une taille haute marquée juste sous la cage thoracique : elle crée l’illusion de jambes interminables. La jambe droite ou légèrement flare qui frôle le cou-de-pied prolonge encore l’effet, surtout si l’ourlet couvre la moitié du talon. Les modèles cache-cœur ou à col V dégagent le buste, allégeant le haut sans réduire la prestance. Enfin, une ceinture ton sur ton, fine ou ruban de soie, évite les cassures de couleur qui tassent la silhouette.
- Jambes palazzo fluides et taille élastiquée à l’arrière pour le confort
- Poches verticales discrètes, jamais plaquées sur les hanches
- Détails mini : boutons recouverts, dentelle fine plutôt que 3D
Grande taille plus : modèles curve flatteurs
Pour une combinaison grande taille mariage, l’enjeu est de structurer sans contraindre. Les coupes blazer ou cache-cœur croisent la poitrine en douceur et soulignent la taille grâce à une ceinture ajustable. Les tissus au tomber lourd, crêpe ou satin duchesse, lissent les courbes sans les figer. Côté jambe, le large droit plutôt que le palazzo extrême équilibre les volumes. Un décolleté léger en V ou en cœur attire le regard vers le haut, tandis que des manches trois-quarts affinent le bras et laissent voir un joli bracelet.
- Panneaux latéraux contrastants ton sur ton pour un effet sculptant
- Fermeture au dos invisible, plus simple à ajuster chez la couturière
- Longueur de buste rallongée de 2 cm sur les marques Curve, à vérifier dans le guide taille
Dos nu, bustier, manches ballon : points d’équilibre
Les détails spectaculaires transforment la combinaison mariage, à condition de respecter une règle d’équilibre : volume ou mise à nu, jamais les deux à la fois. Un dos nu profond se marie idéalement avec une jambe cigarette ou fuseau pour ne pas surcharger la tenue. Le bustier lisse met l’accent sur les épaules, prévoyez alors un pantalon palazzo fluide afin de contrebalancer. À l’inverse, la manche ballon, grande tendance repérée sur les collections créateurs, appelle une jambe droite ajustée et une taille bien cintrée.
- Dos nu : adopter un soutien-gorge adhésif ou un doublé en tulle chair
- Bustier : tissus gainants avec bandes siliconées pour éviter les glissements
- Manches ballon : choisir un tissu léger type organza pour conserver la mobilité
Matières et finitions clés pour une combinaison mariage
Crêpe lourd et satin duchesse pour un tombé parfait
Crêpe lourd et satin duchesse dominent les collections mariage, de Carlaa à Mango. Leur atout premier se joue sur le tombé : le crêpe, grâce à son tissage serré et légèrement texturé, épouse les formes sans mouler et dissimule les plis éventuels lors des longues stations debout à la mairie ou à l’église. Côté pantalon palazzo ou jambe large, il garde la verticalité recherchée, évitant l’effet froissé si redouté des photos de groupe.
Le satin duchesse, plus dense qu’un satin classique, offre une brillance discrète et une tenue corsetée idéale pour un bustier ou une taille marquée. Il apporte instantanément un air couture, même sur un modèle minimaliste. Pour un confort optimal, les créatrices interrogées conseillent une doublure en voile de coton sur le haut pour limiter la transpiration estivale. Dernier point pratique : ces deux matières se retouchent facilement, qu’il s’agisse d’un ourlet express ou d’un ajustement taille-hanche avant le jour J.
Dentelle guipure et détails romantiques assumés
La dentelle guipure signe les combinaisons qui misent sur la poésie. À la différence d’une dentelle Chantilly très fine, la guipure se reconnaît à ses motifs reliés par de fins ponts sans tulle de fond, créant un relief net. Résultat : des empiècements transparents sur manches ballon, dos travaillé ou bustier illusion qui jouent la carte romantique sans virer « mariage princesse ». Les galons festonnés soulignent la taille, tandis que des boutons recouverts ponctuent la fermeture pour un clin d’œil vintage.
Pour éviter la surcharge, les stylistes recommandent d’associer la guipure à une base unie ton sur ton : crêpe blanc ivoire pour la mariée civile, satin coloré pour l’invitée. L’entretien se fait au pressing avec filet de protection, la dentelle supportant mal la vapeur trop chaude.
Tissus durables polyester recyclé et alternatives éco
Les mariées et invitées attentives à leur impact environnemental se tournent de plus en plus vers les gammes « Committed » ou « Conscious ». Mango annonce déjà 45 % de polyester recyclé sur ses combinaisons cérémonie, tandis que des labels français comme Les Récupérables proposent du Tencel™ ou du cupro, fibres issues de la pulpe de bois ou des déchets de coton, respirantes et fluides.
Avant d’acheter, vérifier trois points :
- la présence d’un label tiers (GRS pour le polyester, OEKO-TEX pour les teintures),
- le pourcentage réel de matière recyclée, souvent indiqué en bas de fiche produit,
- la possibilité de location ou de revente, deux options qui prolongent la durée de vie de la pièce.
Un polyester recyclé bien tissé garde un drapé similaire au crêpe traditionnel tout en offrant un prix accessible, entre 120 et 180 €, soit un compromis séduisant pour qui veut concilier style et conscience verte.
Couleurs et imprimés tendance pour invitée ou mariée
Vert sauge rose poudré terracotta : best sellers
Ces trois couleurs trustent les premières places des paniers e-shoppers. Le vert sauge séduit pour son effet doux, végétal, parfait dans un décor champêtre. Le rose poudré reste la valeur refuge de celles qui veulent féminité et discrétion à la fois. Quant au terracotta, sa chaleur terre cuite sublime les peaux hâlées et assure un contraste élégant sur les photos. Selon les données internes d’ASOS, ces teintes représentent aujourd’hui plus d’un tiers des ventes de combinaison femme mariage. Petit guide express : vert sauge pour un jardin, rose poudré pour une réception glamour, terracotta pour un lieu de caractère en pierre ou en briques.
Blanc cassé champagne nude pour cérémonie civile
Pour la mairie, les mariées plébiscitent les dérivés de blanc qui évitent l’écueil “robe de demoiselle d’honneur”. Le blanc cassé garde la symbolique pure, mais avec un fini plus chaleureux. Le champagne apporte une touche festive grâce à ses reflets dorés, surtout sur satin ou crêpe lourd. Enfin le nude joue la carte minimaliste, très prisé par celles qui veulent reporter leur combinaison après le jour J, simplement accessoirisée différemment. Ces tonalités neutres se marient avec des bijoux dorés et un escarpin couleur peau pour allonger la jambe tout en sobriété.
Palettes hiver et mariage bohème : comment choisir
En hiver, misez sur des versions plus profondes : vert forêt, bordeaux ou bleu encre réchauffés d’un fil lurex ou d’un velours souple. À l’inverse, un mariage bohème estivale adore les imprimés floraux discrets sur fond crème, les rayures fine lurex ou les micro-motifs cachemire qui rappellent la couture seventies. Pour ne pas se tromper, partez de trois éléments : le lieu (château, grange, plage), la lumière (lanternes, néons, bougies) et le dress code annoncé. Un décor en pierres froides accepte mieux une palette sombre qui se détache dans la pénombre. Un champ d’oliviers réclame au contraire des tons délavés et des imprimés légers afin de ne pas écraser l’arrière-plan. Terminez avec une touche personnelle, foulard d’inspiration vintage ou bouquet de fleurs séchées assorti à la combinaison, pour signer votre look sans trahir l’atmosphère choisie par les mariés.
Accessoires chaussures et vestes pour la combinaison mariage
Bijoux voile ceinture : souligner la taille et le dos
Une combinaison mariage offre un dos souvent dégagé et une taille marquée, terrain de jeu idéal pour les accessoires. Les bijoux de dos, chaînettes fines ou pendentifs inversés, attirent la lumière sur une fermeture goutte ou un décolleté plongeant. Pour éviter l’effet surcharge, un seul bijou XXL ou deux pièces discrètes suffisent, jamais plus.
Côté taille, la ceinture reste la pièce fétiche. À boucle bijou pour une tenue d’invitée, en ruban gros-grain ton sur ton pour la mariée civile, ou encore métallisée pour réveiller un crêpe blanc. Glissée juste au-dessus de la ligne naturelle, elle affine la silhouette et structure les jambes palazzo.
Le voile se démocratise sur la combinaison. Version courte, fixé sur un peigne discret, il crée un rappel vaporeux avec les manches ballon ou la dentelle des épaules. Les plus audacieuses choisissent une cape-voile amovible, attachée aux poignets, qui flotte à la sortie de mairie avant de s’ôter pour le cocktail.
Talons plateformes vs sandales plates : longueur d’ourlet
Le bon ourlet joue sur deux centimètres. Talons hauts ou plateformes donnent l’allure graphique recherchée avec une jambe large ; l’ourlet doit alors effleurer le cou-de-pied sans balayer le sol. La règle pratique : en cabine, porter la hauteur exacte choisie pour le jour J et demander un ourlet qui laisse voir le bout de la chaussure en marchant.
Les sandales plates séduisent les mariages champêtres. Pour éviter l’effet “pantalon qui tasse”, viser une coupe cigarette cheville ou un 7/8ème qui laisse apparaître la bride. Sur une combinaison flare, le pantalon peut frôler le dessus du pied, jamais plus bas, sous peine de froisser le tissu.
Astuces retouches : un ourlet invisible piqué main pour le satin duchesse, un ourlet machine sur crêpe lourd. Garder un peu de marge si l’on alterne talons et ballerines en fin de soirée, un bon retoucheur peut coudre une bande de réserve à l’intérieur.
Blazer cape châle : adapter la combinaison à la saison
Printemps frais, soirée en extérieur ou cérémonie religieuse demandant des épaules couvertes : le blazer cintré reste le plus facile. Choisir un modèle longueur hanche pour ne pas casser la ligne de la combinaison et garder la taille apparente. Les matières légères comme le crêpe recyclé évitent la surchauffe en intérieur.
En été, la cape légère en mousseline apporte la touche couture sans alourdir la silhouette. Portée ouverte, elle accompagne le mouvement et laisse deviner le dos travaillé. Fermée par un crochet bijou, elle protège de la climatisation tout en restant cérémoniale.
Mariage d’hiver : le châle en laine mélangée ou en mohair soyeux garde la chaleur sans volume excessif. Une teinte contrastante réveille un total look ivoire, tandis qu’un châle ton sur ton prolonge l’effet monochrome chic. Pour la mariée, broder la date ou les initiales sur un coin du châle transforme l’accessoire en souvenir à garder.
Où acheter sa combinaison femme mariage : guide prix et enseignes
Options petit budget sous 100 euros en fast fashion
Le segment entrée de gamme reste dominé par les géants de la fast fashion qui renouvellent leurs références toutes les six semaines. ASOS affiche une cinquantaine de modèles « Combinaisons invitée » entre 45 et 90 €. Chez Mango, la ligne « Invitée de mariage » démarre à 59 €, avec un crêpe fluide décliné en vert sauge ou terracotta. PrettyLittleThing pousse la stratégie prix bas encore plus loin : plusieurs jumpsuits satinés à 38 €, souvent proposés avec des codes promo -25 %. Zalando agrège les labels abordables (Even&Odd, Missguided) et sécurise l’achat grâce au retour gratuit 30 jours. Astuce portefeuille : guetter les drops de mi-saison, les prix chutent d’environ 20 % sur les modèles pastel à l’approche de l’automne.
Marques créateurs français de 200 à 540 euros
Pour celles qui visent une pièce pérenne, les ateliers français misent sur la qualité de confection et des tissus plus nobles. Carlaa propose un crêpe lourd intégralement doublé entre 230 et 320 €. Maison Lemoine, spécialiste du mariage civil, reste dans la même fourchette (250 €) avec option manches ballon amovibles. Au-delà, Rime Arodaky Ready-to-Wear et Margaux Tardits L’Atelier flirtent avec 540 € pour un satin duchesse travaillé à la main. Le bénéfice principal se joue dans les finitions : boutons recouverts, zip invisible ton sur ton, ourlet rallongé pour ajustement retouche. La plupart de ces maisons fabriquent en petites séries en Île-de-France ou au Portugal et offrent un service retouche partenaire inclus ou à tarif préférentiel.
Location seconde main et plateformes responsables
Le modèle locatif séduit de plus en plus les invitées soucieuses de réduire l’empreinte carbone de la garde-robe événementielle. Sur Une Robe Un Soir, la combinaison Harpe en broderie anglaise part à 69 € la location quatre jours au lieu de 320 € neuve. Les Cachotières référence près de 120 jumpsuits, dépôt de garantie compris, et propose l’assurance tache pour 5 € supplémentaires. Côté seconde main, Vinted comptabilise plus de 3 000 annonces sous « combinaison mariage », un filon intéressant pour les créateurs français revendus autour de ‑40 %. Enfin, Le Dressing Club ouvre ses showrooms parisiens et lyonnais sur rendez-vous : on y déniche des prototypes ou d’anciennes collections créateur à prix cassé, pressing inclus.
Shopping grande taille Curve et inclusive jusqu’au 56
La recherche « combinaison taille plus mariage » fait un bond chaque saison et certains e-shops répondent enfin au besoin. PLT Curve couvre du 44 au 56 avec plus de 80 références, souvent en satin stretch pour un porté confortable. ASOS Curve va jusqu’au 54 et propose des longueurs jambe Tall et Petite, pratique pour harmoniser le tombé palazzo. Sur Zalando Curve, le filtre taille affiche 130 modèles, du crêpe drapé au velours côtelé hivernal. Pour un patronage vraiment inclusif, Graziela Studio accepte la commande sur mesure sans surcoût jusqu’au 60. Conseil fit transmis par une modéliste : choisir une taille au-dessus pour mieux loger la cuisse puis faire reprendre l’ourlet et la taille, opération rapide chez un retoucheur de quartier (environ 20 €).
Retouches fitting et entretien de la combinaison mariage
Choisir la bonne taille et prévoir un ourlet ajusté
Avant de valider le panier, comparer votre tour de poitrine, de taille et de hanches au guide des tailles de la marque. Les créatrices interrogées rappellent que la jambe large demande parfois une taille au-dessus pour conserver le tombé palazzo, quitte à réduire la ceinture ensuite. Une retoucheuse facture en moyenne 15 à 40 € l’ajustement, bien moins qu’un échange de dernière minute.
- Longueur idéale : la couture du bas effleure le sol, chaussure comprise, en laissant 1 cm d’air pour éviter le balayage.
- Ourlet test : marcher, descendre un escalier, s’asseoir, puis vérifier que la ligne reste nette et que l’entrejambe ne tire pas.
- Option bouton-pression aux chevilles pour remonter la jambe avant la soirée dansante sans tacher l’ourlet.
Pour une finition invisible, demander un ourlet main « point chausson » sur crêpe ou satin ; sur dentelle, la coupe au laser évite l’épaississement.
Astuces toilettes et fermetures éclair invisibles
La principale crainte liée à la combinaison femme mariage reste la pause toilettes. Les modèles premium cachent une glissière latérale double curseur qui se décroche d’une seule main. Sur un dos nu, un zip bord à bord prolongé d’un petit crochet à l’intérieur évite le décalage de tissu.
- Prévoir un ruban ou un fil transparent cousu à la tirette pour l’attraper derrière soi.
- Clip silicone à fixer sur le col pour maintenir la partie haute pendant la descente du bas, pratique quand on est seule.
- Sous-vêtements bodysuit avec agrafes à l’entrejambe : plus besoin d’ôter toute la combinaison.
- En plan B, glisser dans sa pochette une épingle de nourrice pour re-bloquer une fermeture récalcitrante.
Nettoyage pressing stockage sans faux plis
Un crêpe lourd supporte un lavage main tiède, mais la dentelle guipure et le satin duchesse exigent un pressing professionnel. Signaler les taches de vin ou de maquillage dès le dépôt pour un traitement ciblé. À la maison, défroisser au steamer vertical à 20 cm du tissu, jamais au fer direct.
- Suspendre la combinaison sur cintre large doublé de mousse pour préserver les épaules.
- Glisser du papier de soie entre les jambes pour éviter le marquage du pli central.
- Pochette respirante en coton, pas de housse plastique, afin d’évacuer l’humidité.
- Pour un voyage, plier la jambe sur la taille, rouler doucement le bas vers le haut, placer le rouleau dans une taie d’oreiller, puis dérouler et pendre dès l’arrivée.
Bien entretenue, la combinaison conserve son tombé impeccable et pourra être reportée, louée ou revendue sans décote.
FAQ rapide sur la combinaison femme mariage
Invitée peut-elle porter du blanc ou ivoire
Le code couleur reste clair : le blanc et l’ivoire sont réservés à la mariée, même quand elle opte pour une combinaison mariage. Pour les invitées, ces tons sont jugés trop proches de la tenue vedette et peuvent prêter à confusion sur les photos. Une tolérance existe parfois pour un imprimé où le blanc n’est pas dominant : pensez à un motif fleuri pastel ou à un tailleur crème cassé associé à une veste contrastante. Mieux vaut toutefois miser sur les best-sellers de saison (vert sauge, rose poudré, terracotta) ou sur un bleu nuit indémodable.
Combinaison vs tailleur pantalon les différences clés
La combinaison est une pièce unique : buste et pantalon sont cousus ensemble, ce qui crée une ligne verticale continue, affine la silhouette et évite au top de sortir de la ceinture en plein dancefloor. Le tailleur pantalon se compose de deux pièces, veste et pantalon, offrant plus de modularité : on tombe la veste pour le cocktail, on ajoute un caraco dentelle pour le dîner. Côté fitting, la combinaison exige souvent un ourlet et un ajustement de taille au buste alors que le tailleur se retouche séparément. Enfin, le tailleur est perçu comme plus formel, idéal pour un mariage urbain ou en mairie, tandis que la combinaison apporte une touche mode et décontractée tout en restant chic.
Quels tissus froissent le moins en été
Pour éviter l’effet chiffon après une heure de voiture ou un passage devant le photobooth, privilégiez des matières à mémoire de forme :
- Crêpe lourd polyester ou crêpe de viscose : souple, respirant, il reprend vite sa place une fois suspendu.
- Triacétate et polyester recyclé : fibres lisses, quasi infroissables, parfaites pour les coupes fluides palazzo.
- Satin duchesse mélangé : le tissage serré limite les plis, tout en offrant un tombé couture.
- Jacquard léger : le relief maintient la structure et masque les micro-plis.
Linen-viscose ou coton-élasthanne restent possibles mais demandent de la vapeur avant chaque sortie, à réserver aux cérémonies champêtres où le style bohème prime sur la perfection du tombé.
Plébiscitée pour sa coupe libératrice autant que pour son allure couture, la combinaison a désormais rang de prétendante sérieuse face à la robe de mariée. Au-delà d’un effet de mode, elle incarne une nouvelle façon de dire oui, entre affirmation de soi et respect des codes du cérémoniel. Lorsque les vitrines compteront autant de combinaisons que de robes, la question ne sera plus faut-il oser le pantalon mais comment le personnaliser pour raconter son histoire. Reste à chacun de choisir la pièce qui lui ressemble et de signer, par ce simple geste, la prochaine page des traditions nuptiales.
