Maison Guillemette, l’atelier parisien qui réinvente les accessoires de mariage

Photo maison-guillemette-atelier-parisien-accessoires-mariage
Table des matières


Dans l’atelier baigné de lumière du 34 rue de la Victoire, des mains expertes plient le satin, martèlent le laiton et réinventent la panoplie nuptiale. Maison Guillemette, née de l’élan d’une ex danseuse formée chez Chanel et Hermès, insuffle un souffle couture et responsable aux serre-têtes, couronnes et voiles des futures mariées. Focus sur cette adresse parisienne qui mêle savoir-faire millimétré, production ultra-locale et goût de la liberté.

Origines et ADN Maison Guillemette

Le parcours de Guillemette Ménard

Diplômée de l’ESSCA, Guillemette Ménard apprend la rigueur couture au sein de Chanel, Hermès puis Galliano. Dans ces ateliers, elle observe le dialogue permanent entre artisanes, modélistes et créateurs, un ballet qui lui donne envie de lancer ses propres accessoires mariage faits main. En 2014, elle ouvre l’atelier-boutique du 34 rue de la Victoire et dépose le nom Maison Guillemette. Le SIRET 801 942 723 valide l’aventure entrepreneuriale.

Dès le départ, son credo est clair : production locale, matières européennes, prix transparents (45 à 320 €). Chaque serre-tête, couronne ou paire de boucles passe entre les mains d’une petite équipe formée à la broderie et à l’assemblage. La fondatrice revendique « consommer moins mais mieux », et imagine des pièces modulables qui prolongent la vie du vestiaire nuptial.

L’inspiration danse classique

Ancienne petit rat, Guillemette transpose sur ses créations tout l’univers du studio : légèreté du tulle, rubans pastel, précision du porté. Le diadème d’opéra devient serre-tête, la guirlande florale de Giselle se métamorphose en couronne Épi Gold, le justaucorps inspire les dos nus de la ligne prêt-à-porter.

  • Volumes aériens, obtenus par des pétales satin piqués un à un, rappelant un pas de valse.
  • Palette ivoire, nude, doré, clin d’œil aux chaussons et aux barres de bois blond.
  • Noms de modèles empruntés au répertoire : Carmen pour les créoles martelées, Rome pour le serre-tête orné de dix fleurs.
  • Confort étudié, afin que la mariée puisse « danser jusqu’au petit matin » sans pincement ni glissement.

La danse ne reste donc pas une simple référence esthétique ; elle guide la recherche de mouvement et de liberté au cœur de l’ADN Maison Guillemette.

Accessoires mariage signature

Serre-têtes et couronnes de mariée

Chez Maison Guillemette, le serre-tête mariage passe d’ornement discret à pièce affirmée. Rome, bandeau satiné où dix fleurs sont brodées à la main, affiche un volume sculptural sans peser plus de 40 g. L’emblématique Épi Gold travaille la symbolique du blé en laiton doré, clin d’œil aux récoltes porte-bonheur. Chaque couronne est formée sur un socle métallique flexible, gainé de ruban pour ne pas glisser et éviter les maux de tête durant dix heures de fête.

La fondatrice revendique une fabrication “dans un rayon de vingt mètres”, atelier et boutique étant mitoyens rue de la Victoire. Résultat : délai moyen d’une semaine hors pic de saison et personnalisation possible sur rendez-vous, qu’il s’agisse d’ajouter un voile à clips ou de décliner les fleurs dans un coloris blush pour un mariage civil.

Bijoux et voiles faits main

Les bijoux de mariée suivent la même logique artisanale. Les créoles Carmen, martelées puis dorées à l’or fin, sont assemblées pièce par pièce avant un bain protecteur qui évite l’oxydation. Entre 45 € et 320 €, la gamme couvre bracelets joncs, colliers ras-du-cou et boucles oversize, tous pensés pour se reporter après la noce avec un tee-shirt blanc ou une maille légère.

Côté voiles, Maison Guillemette préfère la modularité : peigne invisible, longueur adaptable, option d’un galon de dentelle de Calais ou d’un biais gros-grain façon danseuse. Les capes transparentes séduisent les mariées d’hiver, tandis que le mini-voile “Blair” s’agrafe sur un headband pour une allure citadine. Un pochon en coton bio, remis lors de l’achat, facilite le rangement sans faux-plis.

Prêt-à-porter cérémonie civile

La ligne de prêt-à-porter cérémonie civile confirme la spécialité “deux-pièces” de la maison. Robe chemise Alba, top bustier Pina et jupe trapèze Dolce partagent la même base de crêpe lourd italien, infroissable pendant les trajets en mairie. Les clientes composent leur look modulable à partir de 100 € pour un top, jusqu’à 750 € pour une robe longue.

  • Manches détachables boutonnées sous l’aisselle pour passer d’un oui officiel à un cocktail en terrasse.
  • Poches latérales invisibles, fréquentes sur les jupes, réponse pratique aux mariées sans sac.
  • Ourlets généreux de quatre centimètres, pensés pour une retouche rapide si l’on souhaite reporter la pièce au bureau.

Toutes les confections conservent la coupe “port de tête” chère à l’ancienne danseuse : taille soulignée, dos travaillé, confort maximal pour bouger jusqu’à la dernière valse.

Savoir-faire artisanal parisien

Fabrication 100 pour cent made in France

Chaque accessoire quitte l’atelier du 34 rue de la Victoire après un passage entre les mains d’une dizaine d’artisanes : plumassière, passementière, modiste ou bijoutière. Aucune chaîne automatisée, seulement des postes de travail baignés de lumière, des machines à coudre centenaires et des gestes hérités de la haute couture. Comptez de quatre à douze heures pour un serre-tête orné de fleurs satin, davantage pour une couronne métallisée soudée puis dorée à Paris. Ce modèle de production ultra-local permet un contrôle qualité pièce par pièce et limite le transport au strict minimum, du croquis à la mise en boîte.

Le choix du 100 % français ne se limite pas aux frontières de la capitale : assemblage, dorure, plaquage or, pose de strass Swarovski, tout s’effectue entre Paris et les Hauts-de-France avec de petits ateliers partenaires. Résultat : un impact carbone réduit, des délais resserrés pour les futures mariées et la garantie d’une traçabilité totale, un argument déterminant au moment de fixer un diadème sur une coiffure de cérémonie.

Lire aussi :  Location robe de mariée pas cher : astuces pour un choix élégant à petit prix

Sélection des matières nobles

La créatrice mise sur un sourcing européen court et exigeant. Liste non exhaustive :

  • dentelle de Calais-Caudry pour les voiles et capes,
  • tulle de soie français,
  • satins et crêpes italiens,
  • laiton plaqué or 24 carats pour les bijoux,
  • rubans de gros-grain espagnols.

Cette palette raffinée répond à deux critères : légèreté sur la tête ou les épaules et tenue impeccable du matin au bout de la nuit. Les feuilles dorées d’une couronne Épi ne ternissent pas, le tulle reste aérien malgré les heures de danse, les boutons recouverts de soie conservent leur galbe. Une exigence qui rapproche Maison Guillemette des maisons de couture auprès desquelles Guillemette Ménard a fait ses armes, tout en donnant aux mariées la liberté de reporter leurs pièces bien après le grand jour.

Engagement durable et upcycling

Réutiliser les chutes de tissus

Dans l’atelier du 34 rue de la Victoire, pas de sac poubelle débordant de tul­le ou de mousseline. Chaque ch­ute issue de la coupe d’un voile, d’un nœud de robe ou d’une doublure part immédiatement sur une table dédiée à l’up-cycling. Les rubans de dix centimètres deviennent des mini-noeuds montés sur barrette, les petits carrés de dentelle de Calais servent de pétales appliqués sur un peigne, les surplus de boutonnières fournissent des décors de manchette. Cette organisation millimétrée permet de transformer presque 100 % des rebuts en micro-accessoires vendus entre 12 et 35 euros, tout en garantissant la même fabrication faite main à Paris.

« Consommer moins mais mieux », répète Guillemette Ménard lorsqu’elle présente ces pièces up-cyclées aux futures mariées. Le message trouve écho chez une clientèle qui cherche une valeur ajoutée éthique autant qu’esthétique. Résultat, les barrettes et élastiques nés des chutes représentent désormais l’un des premiers achats d’entrée de collection, souvent commandés par les témoins ou les enfants d’honneur pour assortir la suite nuptiale sans grever le budget.

Accessoires à reporter après le mariage

Investir dans un serre-tête brodé à la main ou une paire de boucles plaquées or devient plus pertinent lorsque la pièce ne dort pas éternellement dans une boîte souvenir. Maison Guillemette conçoit donc ses modèles pour qu’ils glissent sans effort du grand jour au quotidien. Quelques idées :

  • Serre-tête Rome : porté avec un chignon bas à l’hôtel de ville, il accessoirise ensuite un blazer blanc pour une soirée d’été.
  • Boucles Carmen : créoles martelées, diamètre 5,2 cm, idéales avec une blouse en soie comme avec un top en jean.
  • Nœuds up-cyclés : clipsés le jour J sur la coiffure des demoiselles d’honneur, ils deviennent attaches-sac ou broches sur un manteau d’hiver.
  • Capes amovibles : fixées sur une robe civile, elles se transforment en étole sur une robe de cocktail la saison suivante.

Cette logique de pièces réutilisables soutient la démarche écoresponsable de la marque et atténue l’empreinte carbone globale d’un mariage. En misant sur la modularité et la qualité artisanale, la maison incite chaque cliente à prolonger la vie de son accessoire bien au-delà du jour où elle a dit oui.

Guide pour choisir son accessoire

Harmoniser avec la robe de mariée

Avant de flasher sur un peigne ou une couronne, on pose un œil attentif sur la coupe et la matière de la robe. Une silhouette épurée en crêpe s’accorde bien avec un serre-tête mariage minimaliste en satin ou un headband fin ponctué de perles. À l’inverse, une robe agrémentée de dentelle délicate gagne en relief avec des fleurs brodées ou quelques feuilles dorées façon Couronne Épi Gold. Garder aussi la nuance de blanc en tête : ivoire pour ivoire, blanc optique pour blanc optique, afin d’éviter le contraste inopportun sur les photos. Enfin, la règle de proportion reste infaillible : plus le décolleté et les manches sont travaillés, plus l’accessoire se fait discret, et réciproquement.

Astuces coiffure avec headband ou couronne

Le savoir-faire Maison Guillemette facilite la mise en place : le fil de laiton des couronnes se modèle légèrement à la forme du crâne et les headbands possèdent un ruban gros-grain antiglisse. Pour un chignon bas, fixer d’abord la structure avec deux épingles invisibles croisées avant de piquer le bijou dans la nuque. Sur cheveux lâchés, miser sur une raie au milieu puis glisser le headband à trois centimètres de l’implantation pour un rendu danseuse, clin d’œil direct à l’inspiration de la maison. Les boucles volume XXL ? Pencher pour une demi-queue agrémentée d’un peigne fleuri, laiton à peine martelé pour capturer la lumière sans écraser la chevelure.

Conseils d’entretien et de rangement

Ces pièces sont réalisées à la main, un entretien doux prolonge leur éclat. Après la fête, retirer délicatement tout résidu de laque avec un coton-tige très légèrement humidifié, puis tamponner avec un tissu microfibre sec. Bannir solvants et nettoyage sous l’eau. Ranger l’accessoire dans sa boîte d’origine, enveloppé de papier de soie, à l’abri de la poussière et des variations de température ; les feuilles dorées et les perles craignent l’humidité. Pour les couronnes flexibles, conserver la forme circulaire en glissant un rouleau de soie ou un petit ballon de mousse au centre. Bien stockées, ces créations fait main accompagneront d’autres moments précieux, baptême, anniversaire ou simple dîner d’été.

Budget, prix et personnalisation

Gammes de prix de 45 à 320 euros

La grille tarifaire de Maison Guillemette s’étend de 45 à 320 euros pour les accessoires mariage. Les premières marches se situent autour de 45 à 70 euros avec les barrettes nœuds issues de l’upcycling des chutes de tissus. Viennent ensuite les boucles d’oreilles et bracelets, de 90 à 160 euros, souvent plaqués or et montés sur des apprêts français. Les pièces héroïnes, serre-têtes, couronnes et larges peignes, oscillent entre 180 et 320 euros. À ce niveau, chaque fleur est découpée, modelée puis cousue à la main dans l’atelier de la rue de la Victoire. La marque reste ainsi accessible pour un accessoire premium fabriqué à Paris, quand certaines maisons anglo-saxonnes affichent des prix supérieurs à 400 euros pour un headband de même catégorie.

Lire aussi :  Maîtriser le noeud de cravate pour un mariage élégant : guide et inspirations

Pour évaluer son budget, les mariées retiennent en général trois repères : 1) l’accessoire cheveux, cœur de l’offre, autour de 220 euros, 2) un duo boucles + peigne coordonné, environ 300 euros, 3) un look complet civil comprenant top, jupe et headband, qui grimpe à 600-700 euros. Les prix comprennent la housse de protection et une carte d’entretien, mais hors livraison.

Options sur-mesure et délais

Le sur-mesure permet de modifier un modèle existant ou de créer une pièce unique. Palette de couleurs adaptée au bouquet, ajout de perles de verre, voile amovible cousu sur un peigne, chaque demande fait l’objet d’un devis. Compter un supplément de 15 à 30 % par rapport au tarif catalogue et un acompte de 50 % à la commande.

Les délais varient selon la complexité : 7 à 10 jours ouvrés pour un simple changement de ruban, 3 à 4 semaines pour une couronne entièrement re-dessinée. Une option « cérémonie urgente » est proposée moyennant 30 euros, expédition sous 72 h si la matière est disponible en atelier. Les essayages se font sur rendez-vous dans les deux boutiques parisiennes ou par visioconférence pour les clientes à distance, avec envoi d’échantillons de tissus pour validation. Chaque pièce quitte l’atelier dans une boîte rigide avec numéro de série, prolongeant l’expérience artisanale jusqu’à la remise en main propre le jour J.

Illustration

Avis de mariées et experts du mariage

Témoignages clients et avant après

Claire, cérémonie civile à Lyon, cherchait un détail chic pour dynamiser son carré plongeant. Avant l’essayage, son look restait très urbain. Après avoir posé le serre-tête Rome, dix fleurs en satin brodées à la main, son visage a gagné en lumière et la silhouette globale a aussitôt basculé vers l’esprit “ballerine contemporaine” que la marque affectionne. Même constat pour Inès, qui redoutait le côté trop sage du chignon bas : le peigne Épi Gold a structuré la nuque et apporté une touche dorée qui s’accordait à ses boucles d’oreilles héritées de sa grand-mère.

  • 95 % des mariées interrogées en boutique disent avoir pris leur décision finale après l’essayage, convaincues par la légèreté des pièces.
  • 4 sur 5 avouent reporter leur accessoire sur une queue-de-cheval de soirée ou un look de bureau, validant la promesse “après-wedding”.
  • Les retours clients soulignent en priorité le confort (absence de maux de tête), puis la qualité perçue des matières (dentelle de Calais, satin duchesse).

Le regard des coiffeurs et stylistes

Selon Sonia Duchamp, coiffeuse éditoriale et créatrice du salon Rouge à lèvres à Paris, “la légèreté des armatures Maison Guillemette change la donne. On peut crêper légèrement, poser le serre-tête, puis défaire la coiffure sans trace de pression, ce qui rassure les mariées pendant les retouches photos”. Côté stylisme, Marie Gasparini, consultante pour plusieurs magazines mariage, note le parti pris monochrome des accessoires : “Des fleurs ivoire sur soie, une base tulle nude, rien ne jure avec les dentelles, même les plus complexes. C’est un accélérateur de style qui ne vole pas la vedette à la robe”.

  • Astuce pro : placer le headband à trois centimètres de la ligne frontale pour éviter la glisse et conserver un tombé naturel sur les tempes.
  • Pour les cheveux courts, les stylistes recommandent de jouer l’accumulation avec un peigne asymétrique côté droit et une barrette issue de la gamme up-cycling côté gauche.
  • Les voiles amovibles de la marque se fixent sur un peigne discret, ce qui permet un retrait rapide après la cérémonie sans déranger la coiffure.

Tendances accessoires mariage à suivre

Couleurs et matières qui montent

Après plusieurs saisons dominées par le blanc immaculé, les créateurs d’accessoires mariage glissent désormais des nuances plus affirmées dans les chevelures et sur les lobes. Trois palettes ressortent : les tonalités “glazed” (ivoire verni, pêche givrée) qui accrochent subtilement la lumière, les dorés chauds façon feuille d’or qui font écho aux bijoux anciens, et les pastels fumés (sauge, rose thé) faciles à assortir aux bouquets secs. Côté matières, les ateliers parisiens, dont Maison Guillemette, misent sur la dentelle de Calais et le satin duchesse pour les peignes, alors que l’organza upcyclé sert à former des pétales aériennes sur les serre-têtes. Les perles d’eau douce, moins lisses que le cristal et plus responsables que le plastique, remplacent peu à peu les strass. Enfin, un retour remarqué du ruban gros-grain apporte une touche couture aux voiles amovibles et serre-têtes nœuds.

Influence de la danse dans la mode nuptiale

Le ballet n’inspire plus seulement les robes de mariée. Il guide aussi la création d’accessoires pensés pour bouger, virevolter, vivre l’instant. Couronnes souples à la manière des circlets de danseuses romantiques, boucles d’oreilles créoles martelées qui évoquent les cerceaux de cercles aériens, capes en tulle coupées comme un tutu coupé plat : la gestuelle scénique infuse la silhouette nuptiale. Chez Maison Guillemette, fondée par une ancienne élève de conservatoire, les peignes se positionnent bas pour accompagner les chignons de ballerine, tandis que les clips “Carmen” font clin d’œil aux castagnettes flamencas. Cette influence se traduit aussi par des systèmes de fixation légers (peignes montés sur base de fil câblé) et par l’usage du plumetis, réminiscence des jupes de répétition. Résultat : des pièces qui tiennent toute la nuit sans sacrifier la poésie du premier pas de danse.

Lire aussi :  Pourquoi et comment porter des baskets avec votre robe de mariée

Où acheter Maison Guillemette

Boutiques Paris 9e et Marais

La marque reçoit les futures mariées dans deux adresses parisiennes où l’on retrouve l’intégralité des accessoires mariage, bijoux et pièces de prêt-à-porter. L’atelier-boutique historique, 34 rue de la Victoire dans le 9ᵉ arrondissement, se déploie sur environ 100 m². Les clientes y découvrent les serre-têtes iconiques, les voiles brodés et les prototypes fraîchement sortis des mains des artisans. Un espace essayage plus intime permet de tester chaque pièce avec sa robe ou un top prêté sur place. Deux stations de métro : Notre-Dame-de-Lorette et Le Peletier.

Depuis l’ouverture du point de vente du Marais, 22 rue des Francs-Bourgeois, la marque propose un second écrin au cœur du quartier historique des créateurs. Plus compact, ce lieu fonctionne comme un showroom. Les conseillères, toutes formées à la coiffure événementielle, ajustent le positionnement des couronnes et prodiguent des conseils d’entretien. Prise de rendez-vous recommandée les samedis et en fin de journée. Paiement en trois fois possible en boutique.

  • Horaires indicatifs : mardi à samedi, 11 h – 19 h.
  • Service retouche minute sur les rubans et voiles.
  • Collecte des anciennes barrettes pour recyclage gratuit.

E-shop et corners internationaux

Pour celles qui ne peuvent pas se déplacer, le site maisonguillemette.com livre plus de 40 pays via Colissimo ou DHL Express. Les fiches produit détaillent matières, délais et options de personnalisation, avec un chat en direct pour valider la compatibilité couleur avec sa robe. Les frais d’envoi offerts dès 200 € en France métropolitaine, retours possibles sous 14 jours hors pièces personnalisées.

La griffe se déploie également à l’étranger grâce à des corners sélectionnés pour leur positionnement haut de gamme :

  • Isetan Shinjuku, Tokyo : sélection exclusive de couronnes dorées et boucles d’oreilles plaquées or.
  • Lane Crawford, Hong Kong : focus sur les capes et voiles modulables.
  • ABC Carpet & Home, New York : mise en avant des serre-têtes satin et des modèles up-cyclés.

Chaque corner reçoit des séries limitées fabriquées dans l’atelier parisien pour conserver la même qualité qu’en boutique. Les demandes de personnalisation se traitent ensuite en ligne via un formulaire dédié, ce qui garantit une expérience homogène où que l’on se trouve.

FAQ pratique Maison Guillemette

Délais de livraison et retours

Livraison France métropolitaine : les pièces en stock quittent l’atelier sous 48 h ouvrées, puis Colissimo assure l’acheminement en 24 h à 72 h. Pour un mariage rapproché il est donc sage de valider la commande une semaine avant la date butoir. Les créations réalisées à la demande, couronnes brodées ou voiles personnalisés, nécessitent en moyenne 10 à 15 jours de confection, annoncés au moment du paiement. Un e-mail de suivi et un numéro de tracking sont envoyés dès le passage du colis au service postal.

International : DHL Express livre l’Europe entre 3 et 5 jours, le reste du monde en 5 à 8 jours. Les droits de douane éventuels restent à la charge de la cliente, un estimateur de frais s’affiche avant validation du panier.

Retours et échanges : Maison Guillemette applique le droit de rétractation de 14 jours après réception. Le formulaire disponible dans l’espace client déclenche l’étiquette prépayée (France uniquement). Les pièces portées, retouchées ou réalisées sur mesure ne peuvent pas être reprises, afin de préserver l’hygiène et la traçabilité artisanale. Les remboursements s’effectuent sous 5 jours ouvrés après contrôle qualité à l’atelier.

Guide des tailles et ajustements

Accessoires cheveux : serre-têtes, peignes et couronnes sont proposés en taille unique. La base est pensée pour tenir sans douleur grâce à un ruban gros-grain antiglisse et une armature flexible. Pour un tour de tête inférieur à 53 cm ou supérieur à 58 cm, il suffit de le signaler lors de la commande : l’atelier resserre ou ouvre la structure sans surcoût.

Prêt-à-porter cérémonie : le tableau de mensurations XS à XL se base sur la poitrine, la taille et les hanches. Les robes civils et jupes possèdent des bandes élastiques invisibles ou des liens croisés qui gagnent ou perdent jusqu’à 3 cm, pratique en cas d’essayage tardif. Pour un ajustement précis, le service « Retouche Paris » propose ourlet, pinces poitrine ou raccourcissement de manches en cinq jours ouvrés. Les pièces expédiées à distance peuvent être retouchées par votre couturière locale ; l’atelier rembourse jusqu’à 25 € sur envoi de la facture.

Bijoux : les boucles d’oreilles sont montées sur tiges standards 0,8 mm, compatibles oreilles percées classiques. Les bracelets possèdent une chaînette réglable de 3 cm. Pour un poignet très fin ou large, une maille supplémentaire ou un raccourcissement est possible sur simple e-mail avant expédition.

En cas de doute, le service client répond du lundi au vendredi via chat ou téléphone et envoie sur demande un mètre ruban papier gratuit, histoire de prendre ses mesures sans stress avant le jour J.

Maison Guillemette prouve qu’un serre-tête façonné à vingt mètres de la vitrine peut porter à lui seul une vision du mariage, locale, dansante et durable. En rappelant qu’un accessoire se vit bien après le grand jour, l’atelier parisien invite les couples à revoir leur liste d’essentiels. Et vous, choisirez-vous une pièce qui s’éclipse à minuit ou une création qui continuera de valser dans votre quotidien ?

4.5/5 - (28 votes)
Bonjour, je m’appelle Eleonore, organisatrice de mariages depuis 15 ans. J’ai parcouru le monde pour créer des mariages de rêve pour des clients de toutes nationalités, y compris des célébrités. Je collabore avec le blog Lyne Mariage, partageant mon expérience avec humour et légèreté.
Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *